dimanche, 18 octobre 2015
La pratique de la prière intérieure pour conduire l’âme à l’union avec Dieu
Méthode de l’oraison et de la contemplation mystique
selon
Louis-Claude de Saint-Martin
« La prière est une échelle
avec laquelle on peut s'élever jusque dans le ciel des cieux. »
(Louis-Claude de Saint-Martin, Pensées).
Pour ceux qui en font une lecture attentive, en authentique guide spirituel Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803), nous invite à placer nos pas à sa suite dans la voie de la prière, nous conviant à cheminer, à ses côtés, dans l’approfondissement de notre connaissance de la Divinité, car il s’agit bien, pour nous, non seulement de se nourrir, en un premier temps, des souveraines paroles et bienheureux conseils du Philosophe Inconnu, mais, et il importe d’insister fortement sur ce point de par son caractère supérieur et central, de « pratiquer », à notre tour, le saint exercice de « l’oraison intérieure », de se rendre, comme nous le demande instamment Saint-Martin, assidu et fidèle avec la rencontre surnaturelle ; d’habituer l’âme au divin entretien.
Conservons ainsi en permanence en mémoire que la voie de la « prière intérieure », comme l’enseigne le Philosophe Inconnu, est une voie secrète où règnent le silence et la lumière, elle est la « voie » par excellence de la rencontre avec le divin ; celle, surtout, qui nous rend « le frère, la sœur et lamère » (Marc III, 35) du Réparateur, elle est, en raison de son caractère éminent dans l’œuvre divine, le « vrai culte d’adoration agréable à Dieu ». [1]
La prière est donc bien, en réalité, comme l’affirma à de nombreuses reprises et à juste titre Saint-Martin, qui voyait d’ailleurs en cela son grand secret, la sublime et effective opération qui permet l’éclosion, en notre interne, de la pure essence indéfinissable, de la subtile «Présence» qui est le trésor de l’esprit, celle qui donne, dans les abyssales profondeurs de notre cœur, pour notre plus grande joie et inexprimable transformation, naissance au Verbe, à « Celui » sans lequel toute vie est vaine - « la Lumière vraie qui éclaire tout homme venant dans le monde. » (Jean, I, 9).
La prière est la sublime et effective opération
qui permet l’éclosion, en notre interne,
de la pure essence de la subtile «Présence».
I.Nécessité de l’oraison intérieure
L'oraison – ou la prière intérieure, dite encore « prière du cœur » selon la terminologie de la tradition mystique -, pour Saint-Martin, consiste beaucoup moins à prier Dieu, qu'à laisser Dieu prier en nous. La véritable originalité de la prière saint-martiniste se situe dans cette profonde et radicale modification du point de vue, ce « décentrement », qui ne dirige plus son attention sur ce que l'homme fait, ou ne fait pas dans sa prière, sachant que l'oraison de recueillement des mystiques participe plus de la passivité que de l'agir, mais de ce que, précisément, Dieu fait dans le cœur de l'homme. À ce titre, on pourrait dire, en langage théologique, que l'oraison saint-martiniste est une « oraison infuse » [2], dans laquelle et par laquelle, c'est Dieu lui-même qui est l'agent direct de la prière, le véritable agent de l'activité priante. Cela nous est confirmé à de nombreuses occasions par Saint-Martin dans ses écrits, et il en fait, sans aucun doute possible, la clé fondamentale de ce qu'il entend par le mot de « prière » : « La seule prière que nous aurions à faire ce serait de travailler continuellement à ne pas empêcher de prier en nous celui qui ne peut cesser de prier pour nous, soit en nous, soit hors de nous. Car c'est en nous qu'il aime le mieux prier, puisque nous sommes son oratoire, mais quand nous ne lui laissons pas l'accès libre, il va prier hors de nous et il emporte sa paix avec lui. » (Portrait, 635).
« La seule prière que nous aurions à faire
ce serait de travailler continuellement
à ne pas empêcher de prier en nous Celui
qui ne peut cesser de prier pour nous,
soit en nous, soit hors de nous…. »
(L.-C. de Saint-Martin, Portrait, 635).
Saint-Martin précise, pour que nous y soyons attentifs : « Si la nature est comme l'initiation de toutes les vérités, la prière en est comme la consommation, parce qu'elle les renferme en elle. Et pourquoi renferme-t-elle en elle toutes les religions ? C'est qu'elle imbibe notre âme de ce charme sacré, de ce magisme divin qui est la vie secrète de tous les êtres ... » [3] Plus loin, il rajoute : « La prière est une végétation, car elle n'est que le développement laborieux, progressif et continuel de toutes les puissances et de toutes les propriétés divines-spirituelles et naturelles, temporelles, corporelles, glorieuses de l'homme, qui ont toutes été réservées et ensevelies par le péché.» [4]
Le Philosophe Inconnu nous donne d’entrevoir qu'il est de la plus haute importance d’unir, en nous, « cœur et esprit », afin qu'ils puissent collaborer, l'un et l'autre, à nous disposer à la réception de la grâce divine. Il va même jusqu'à employer une très belle image évangélique, image qui fait référence à une promesse du Christ, lorsque le Réparateur indiqua qu'il serait éternellement présent au milieu de ceux qui seront assemblés en son « Nom » (Matthieu XVIII, 20), pour donner plus de force évocatrice à son instructif discours : « La prière est la principale religion de l'homme, parce que c'est elle qui relie notre cœur à notre esprit ; et ce n'est que parce que notre cœur et notre esprit ne sont pas liés que nous commettons tant d'imprudences, et que nous vivons au milieu de tant de ténèbres et de tant d'illusions.» [5]
« La prière est la principale religion de l'homme,
parce que c'est elle qui relie notre cœur à notre esprit ;
et ce n'est que parce que notre cœur et notre esprit ne sont pas liés
que nous commettons tant d'imprudences,
et que nous vivons au milieu de tant de ténèbres et de tant d'illusions… »
(L.-C. de Saint-Martin, La Prière).
II. L’âme est le vrai Ciel
Dieu vit en nous, caché dans l’invisibilité du cœur ; Le Verbe s’est fait chair pour, avec le Père et l’Esprit, être vivant en nous, en notre âme et nous permettre de vivre avec lui de la vie divine : « Vous n’êtes pas dans la chair mais dans l’esprit, puisque l’esprit de Dieu habite en vous » (Romains, VIII, 9), dit justement saint Paul.
Notre âme est donc une authentique demeure céleste selon l’expression d’Origène (v.185-v.253.) : « Tu es ciel, fait pour le ciel » [6] ; de même que pour saint Augustin (+ 430) : « Portant le Dieu du ciel nous sommes ciel. » [7] Le ciel est donc, et ceci est une haute et sublime vérité, au centre de notre âme, qui est elle-même le « Temple de Dieu ».
« Tu es ciel, fait pour le ciel.»
(Origène, In Jer., hom., VIII).
Voilà quelle est la vivifiante « ordination » dont nous parle le Philosophe Inconnu dans le Nouvel homme, celle qui est réalisée par cette descente dans le cœur qui, formellement et surnaturellement, institue l'être de désir « en esprit et en vérité, prêtre du Seigneur », ordination qui explique le rôle essentiel et fondamental de la créature dans l'œuvre divine. Il ne fait aucun doute que l'homme, tabernacle sacré de la Sainte Présence, « est né pour être le principal ministre de la Divinité », comme il nous est signalé dans le Ministère de l'homme-esprit, c'est pourquoi il nous faut nous agenouiller, en notre centre, pour y entendre prier celui qui doit, après y avoir pris naissance, irradier sur nous son incommensurable lumière.
III. La prière intérieure est supérieure aux « prières de formules »
Saint-Martin rappelle qu'il a souvent montré, dans ses ouvrages, « combien la prière de l'homme intérieur était au-dessus des prières de formules » [8], qu'il était inutile de s'encombrer de pratiques verbales mécaniques non pensées, non exprimées avec le cœur. Qu'il était bien supérieur, dans notre oraison, de s'enfoncer en silence dans la communion à la présence de l'Eternel, qu’il était bien plus important d'être à l'écoute de celui qui habite en nous, d'unir nos puissances pour nous élever jusqu'à la contemplation de la rayonnante sainteté de l'Amour.*, plutôt que de s"égarer dans des invocations inutiles, et parfois même dangereuses.
Ce n'est pas la répétition des phrases qui compte, le nombre des mots, c'est la profondeur avec laquelle ils sont prononcés ; ce qui importe c'est la pureté d'intention, c'est la clarté de l'âme, telle est la véritable nature de la prière du cœur, la marche de la parole interne agissante porteuse de nombreux fruits, dont le principal, et le plus extraordinaire d'entre eux, est de pouvoir donner la vie à celui qui est Vie, d'accorder la lumière à celui qui est Lumière, de transmettre la vérité à celui qui est, par essence, « Vérité ».
« Ce n'est pas devant les yeux mais dans le cœur
que nous devrions chercher à avoir le crucifix,
que nous devrions chercher à y avoir le crucifié,
afin de pouvoir en chasser le crucifiant.»
(L.-C. de Saint-Martin, Pensées sur l'Écriture sainte).
La prière intérieure véritable s’effectue dans le silence et l’invisibilité stricte, aucune sorte d’ornements ou objets visibles de nature liturgique n’est nécessaire pour son déroulement, aucune image n’accompagne cette action purement cachée, dégagée de toute référence visuelle externe, c’est une prière secrète : « Il y a un nombre infini de gens qui ne peuvent prier sans image et sans crucifix. Ils ne savent pas que la seule image qu'il nous soit permis et utile de contempler c'est nous, comme étant les seuls qui soyons à l'image de Dieu. Ils ne savent pas non plus que ce n'est pas devant les yeux mais dans le cœur que nous devrions chercher à avoir le crucifix, que même nous devrions chercher à y avoir le crucifié, afin de pouvoir en chasser le crucifiant.» [9]
IV. Le renoncement aux facultés dans l’oraison de « passivité »
Saint-Martin, a des expressions assez saisissantes de ce en quoi consiste la « passivité » par laquelle doit avancer l’âme d’oraison : « Je préfère infiniment la voie douce, simple et intérieure par laquelle la racine intime même peut se réveiller; car si cette racine intime et divinement centrale peut se réveiller elle doit apporter tout avec elle, et sa reproduction universelle ne doit plus pouvoir s'interrompre; voilà pourquoi il est si avantageux de marcher par cette voie, parce qu'alors nous n'avons pour ainsi dire plus rien à faire. Aussi dans mes moments de bien-aise me suis-je dit souvent que le commerce de la vérité finirait par être un vrai commerce de paresseux attendu qu'elle faisait tout pour nous. » (Portrait, 701).
« Les facultés humaines sont imprégnées
d’une corruption ontologique,
faisant que dans l’exercice de la prière
il convient que ce soit Dieu qui agisse et non la créature. »
(Martin de Barcos, « Sentiments sur l'oraison mentale », 1696).
Ces lignes du Philosophe Inconnu, ne sont pas sans évoquer Martin de Barcos (1600-1678), auteur des « Sentiments de l'abbé Philérème sur l'oraison mentale », (1696), qui affirmait que les facultés humaines sont toutes imprégnées d’une corruption ontologique, faisant que dans l’exercice de la prière il convient que ce soit Dieu qui agisse et non la créature puisque l'activité humaine est désorientée dans ses actes et dans son principe, et que l'action divine, à laquelle il ne faut opposer aucune résistance, est infiniment plus parfaite et plus sainte obligeant celui qui prie à réduire, simplifier et suspendre ses facultés. [10]
Enseignant le renoncement à l'activité propre, en s'appliquant à montrer que cette activité est un «néant», les conceptions intellectuelles distinctes et discursives sont incapables d’établir un contact avec Dieu et d’obtenir sa grâce et la « connaissance surnaturelle ».
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dimanche, 04 octobre 2015
Comment être membre de l'Église intérieure ?
Livret-DVD
ENTRETIEN :
« JEAN-MARC VIVENZA et JEAN SOLIS »
Enregistrement réalisé par Baglis TV
vendredi 18 avril 2014 (Vendredi-Saint)
Au cours de l’entretien qui se déroula le vendredi 18 avril 2014, jour du Vendredi Saint [1], de nombreuses questions essentielles ont été abordées afin d’éclairer des points qui, bien qu’évidemment traités et exposés dans « L’Église et le sacerdoce selon Louis-Claude de Saint-Martin », pouvaient rester encore obscurs, voire difficilement compréhensibles, tant le sujet du livre relève d’un domaine assez rarement soulevé, pour ne pas dire quasi jamais abordé dans le cadre des réflexions, légitimes et nécessaires, touchant à la voie initiatique, notamment le Martiniste que l’on devrait bien plutôt, de par la large acception polysémique de ce terme depuis la fondation en 1891 d’un « Ordre » du même nom par Gérard Anaclet Vincent Encausse (1865-1916), plus connu sous le nom de « Papus » [2] dénommer « saint-martinisme », ceci afin de signifier un réel lien de fidélité et d’adhésion vis-à-vis de la pensée de Louis-Claude de Saint-Martin (1753-1803).
Ainsi, tour à tour, dans l’exercice des questions et réponses permettant une approche directe des sujets, les éléments les plus profonds du « mystère de L’Église intérieure » ont été l’objet d’un éclairage précis, circonstancié et développé, qui offrira à chacun de pouvoir bénéficier de précieuses lumières complémentaires qui seront, sans doute, fort utiles lors du cheminement spirituel.
Ces points pourraient se résumer à un seul : la nature de l’Église intérieure et du sacerdoce céleste selon Saint-Martin. Mais une foule d’autres interrogations ne manquent pas de surgir, dès que l’on touche à ces éléments, sachant que l’Église et le sacerdoce, pour le Philosophe Inconnu, relèvent d’une essence et d’une dimension bien différentes de ce que nous croyons connaître habituellement, participant ainsi d’une réalité - et pour tout dire d’un authentique « mystère » -, qui n’a son séjour et sa source uniquement dans l’Invisible.
A présent il s’agit de se préparer
à la réception d’une « grâce d’élection »
capable d’édifier en chacun d’entre nous
les fondements de la véritable Église
C’est pourquoi, un texte complémentaire en forme de développement thématique à « L’Église et le sacerdoce selon Louis-Claude de Saint-Martin » [3], accompagné d’un ouvrage indépendant et d’un entretien portant sur les points principaux de ce livre, s’imposait pour plusieurs raisons.
Premièrement parce que les questions soulevées par le sujet de « l’Église intérieure » se sont révélées d’une telle importance spirituelle et initiatique, pour la majorité des lecteurs, qu’il était devenu nécessaire d’aborder ces sujets de façon directe, de sorte de leur conférer un éclairage plus immédiat ou « concret ».
Ensuite, s’est imposée l’idée qu’une éclairage explicatif - par delà l’aspect plus directement « liturgique », quoique immatériel et non-ostensible, du culte en « esprit et en vérité » qui a été longuement développé dans un précédent ouvrage [4] -, vienne, non pas s’ajouter au livre touchant à la question du sacerdoce, mais lui conférer quelques lumières complémentaires et notamment doctrinales puisque Saint-Martin en fidèle disciple de Martinès de Pasqually (+ 1774) ne cesse d’approfondir les multiples aspects de l’enseignement de son premier maître qu’il compléta ensuite par les enseignements rencontrés chez Jacob Boehme (1575-1624), pouvant s’avérer très utiles pour tous ceux qui souhaitaient entrer, plus avant, dans le « mystère de l’Église intérieure », mystère dont on sait qu’il représente le point central, l’idée fondatrice de la perspective théosophique et mystique de la pensée de Louis-Claude de Saint-Martin.
Ainsi donc, par les éléments développés, chacun pourra bénéficier de certaines « lumières » particulières et secrètes, qui lui permettront d’accéder, plus encore, à la plénitude des connaissances qui entourent le « l’Église intérieure », selon ce que soutenait Saint-Martin – à savoir qu’à présent il s’agit, dans ce qui est en jeu pour chaque âme de désir, de se préparer à la réception d’une « grâce d’élection » capable d’édifier en chacun d’entre nous les fondements de la véritable Église - désignée à bon droit comme étant « l’Église intérieure » -, afin qu’elle devienne le Temple et le Sanctuaire de la Divinité, et que dans ce devenir, l’âme donne naissance en elle, du plus profond de son néant, de l’abime dans lequel elle est plongée au sein de sa nuit ontologique, du cœur de son non-être entourée du voile opaque des apparences de la matérialité illusoire, à l’Être infini qui ne subsiste que dans son absence, ne vit et ne perdure, éternellement, que dans son retrait, et n’existe que dans sa non-existence suressentielle.
« Quand l'homme prie avec constance, avec foi,
et qu'il cherche à se purifier dans la soif active de la pénitence,
il peut lui arriver de s’entendre dire intérieurement
ce que le réparateur dit à Céphas :
‘‘tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon église,
et les portes de l'enfer ne prévaudront jamais contre elle.’’ »
(Saint-Martin, Le Nouvel homme, § 8).
THÈMES DE L’ENTRETIEN :
« JEAN-MARC VIVENZA et JEAN SOLIS »
Enregistrement réalisé par Baglis TV
vendredi 18 avril 2014 (Vendredi-Saint)
DVD – 1 heure
I. Situation du sacerdoce chrétien
II. La prière intérieure et la liturgie de l’Église céleste
III. L’occultation de l’enseignement secret du christianisme
IV. La gnose des premiers siècles
V. L’Église céleste et les confessions chrétiennes
VI. La pratique du sacerdoce intérieur
VII. La « Société des Intimes » et l’Ordre Martiniste
VIII. L’Église intérieure et les sacrements
IX. La Sainte Cène mystique
X. Saint-Martin et la « révélation » de l’Église divine
XI. La doctrine de la réintégration
XII. La descente de l’Esprit-Saint et le don de la Pentecôte
XIII. La grâce du « Vendredi –Saint »
XIV. « Réconciliation » et « Réintégration »
XV. L’apocatastase est l’anéantissement du créé
en tant que « bénédiction »
XVI. La création du monde matériel a été imposée à l’Éternel
XVII. Le monde fut créé par des esprits intermédiaires
XVIII. Émanation et Création
XIX. L’homme et sa relation aux anges
XX. Saint-Martin et la théurgie
XXI. Le projet divin
XXII. Le Divin Réparateur est l’unique Grand Sacrificateur
XXIII. La voie selon l’interne
XXIV. Saint-Martin
et l’enseignement du Régime écossais rectifié
XXV.L’initiation véritable
XXVI. Le « cœur » est le lieu essentiel où advient le « mystère »
L’Entretien est suivi de deux textes
inclus dans le livret accompagnant le DVD :
Comment être membre de l'Église intérieure ?
Et la
« Règle de vie abrégée de l’âme intérieure »
Pour commander le
DVD Entretien / Livret :
L’Église et le sacerdoce selon Louis-Claude de Saint-Martin
Notes.
1. Enregistrement du 18 avril 2014 à Paris, filmé par les caméras de Baglis TV, d’un échange approfondi entre Jean Solis et Jean-Marc Vivenza, que l’on trouve à l’intérieur du présent DVD.
2. Papus est le hiéronyme, ou « nomen ésotérique », qu’Encausee emprunta au Nuctéméron d'Apollonius de Tyane, traduit par Eliphas Lévi (1810-1875) en 1861.
3. L’Église et le sacerdoce selon Louis-Claude de Saint-Martin, La Pierre Philosophale, 2013.
4. Le culte en « esprit » de l’Église intérieure, La Pierre Philosophale, 2014.
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